On n’est pas dans la solution mais dans la question.

Une méthodologie apprise à Epsilon Melia basée sur l’attitude participative qui favorise l’implication de ses membres. L’intervenant organise et conduit les séances de manière à structurer les étapes qui les constituent et à favoriser l’expression libre des participants.

 

Méthodologie qui favorise l’intelligence collective

Tour de table pour que les participants se présentent

Présentation du cadre et de la méthodologie

Recueil des situations qui interpellent une ou plusieurs participants

Exposition plus détaillée d’une situation exposée

Analyse de la situation avec le groupe

Cloture

Qu’est ce qu’une situation ?

  • Une situation problématique : Cela peut être une situation qui interroge votre cadre de référence, un moment d’hésitation, d’incertitude, de doute ou de perte de sens, une difficulté technique, relationnelle, organisationnelle, un questionnement sur votre manière de vivre ou de gérer un évènement, une insatisfaction, une préoccupation sur une demande qui vous est faite… Quoi que ce soit qui vous interroge, vous entrave, vous fragilise ou vous encombre.

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  • Une situation innovante : Cela peut aussi être une réussite, par exemple une situation compliquée surmontée avec créativité, la découverte de quelque chose de nouveau ou d’intéressant dans votre pratique, un conflit ou un empêchement qui a été dénoué. Car les bonnes pratiques sont elles aussi riches d’enseignements !

 

Le rôle de l’animateur du groupe d’analyse de pratiques…

Les compétences des animateurs de GAP formés par Epsilon Melia à paris

Emprunt au latin animatrix (« celle qui anime, qui vivifie »), l’animateur est celui qui donne vie à un groupe, à une parole, à une dynamique.

En partant du terrain, des expériences exposées, l’animateur :

  • Guide le dialogue en reformulant les propos des participants et faisant des feed back

  • Fait circuler la pensée, la redynamise sans apporter de solution (posture neutre)

  • Favorise “l’ici et maintenant” sans vouloir comprendre le pourquoi en utilisant le “Je”